Le sol humide mérite d’être couvert.
Profitons-en, des buddleias se sont installés ici et là.
Le broyeur reprend du service…

Ce buddléia-ci devenait vraiment gênant pour passer le long du premier tunnel…

Réduit en copeaux…

Il offre une couverture pour l’hiver aux pieds de thym,

au sureau dominant l’abri des canards,

aux petits origans,

et à la lavande.

Ce buddléia-là servait de camp de base à des ronces envahissantes et agressives.

Après broyage,

il vient protéger les kiwaïs, framboisiers et autres petits arbres présents à proximité.
Ce n’est pas que l’activité soit sympathique en soi. Le broyeur fait beaucoup de bruit, la position est fatigante et les branches transmettent des secousses et vibrations plutôt pénibles.
Mais c’est toujours pour moi une grande satisfaction de réaliser une opération multiple.
Je retrouve un espace qui s’était refermé, tout en protégeant des cultures et en valorisant sur place la matière organique.
N’est-ce pas réjouissant ?
Oui, quelle holisticité !
Bravo !