Encore une journée où il vaut mieux rester à l’abri en début d’après-midi, c’est l’occasion de parer l’ail, qui a eu le temps de sécher après récolte.
L’opération consiste à couper les tiges et les racines.
On obtient une belle petite tête, qui pourra patienter quelques mois à température ambiante, en attendant son heure.
Résultat d’une sécheresse précoce (depuis le mois de mars) et persistante, les aulx ne sont pas bien gros.
Et une proportion notable a développé des petits bulbilles en hauteur, comme pour assurer sa survie en maintenant une partie de sa descendance à distance du sol surchauffé…
Comme un parent porterait son enfant au-dessus de la tête pour traverser un torrent en furie…