Tels une nature morte, les persils tubéreux étalent les grandes feuilles blanchies par le gel.
Bien vivants cependant ils font jaillir de leur coeur de nouvelles feuilles bien vertes.
Le dégradé de couleurs me fait penser aux compositions d’Andy Goldsworthy. Ne trouvez-vous pas ?
Oui c’est vrai c’est joli !