Les amateurs d’ail n’ont pas été gâtés l’année passée. A cause des pluies surabondantes du printemps 2016, la rouille a stoppé net la croissance des têtes. La récolte d’aillet et d’ail jeune n’a été suivie d’aucune proposition d’ail adulte.
L’ail était tellement petit qu’il ne présentait le plus souvent qu’un seul cayeu. On aurait cru des petits oignons. Et c’était tellement pitoyable que je n’en ai même pas pris en photo !
Récolté quand même et stocké en un lieu frais et sec, le stock d’ail liliputien attendait son heure.
Le programme moins dense en hiver m’a laissé le temps d’accomplir une tâche spéciale de sauvetage.
Trié, épluché, broyé puis séché en douceur, l’ail réapparait sous la forme la plus pratique qui soit, des petites paillettes que vous pourrez saupoudrer directement dans vos plats.
Merci à Sophie qui m’a confié le déshydrateur…
Merci à Julien qui m’a soufflé l’idée…
Et merci à Luci de ce reportage enjoué …. Dommage que ma femme n’aime pas l’ail (elle n’est pourtant pas vampire)
Super résultat, bravo!
a bientot Lucie 😉