Des feuilles grignotées, des fruits perforés et maculés de déjections, il fallait bien trouver qui s’attaque à présent aux tomates…
Elles ont pourtant un certain don pour le camouflage (il y a deux chenilles sur cette image).
Mais quand on cherche on finit par trouver,
derrière une feuille…
entre les fruits d’un même bouquet…
ou même dedans !
On ne rigole pas avec les tomates, les chenilles que je trouve passent un mauvais quart d’heure.
Elles emportent avec elles un certain nombre de fruits qui ne muriront jamais. Heureusement il en reste.
Je ne tiens pas à connaître la forme précise du papillon de nuit dont il s’agit. J’espère plutôt que mes visites répétées auprès des tomates permettent d’enrayer nettement le cycle de ce visiteur inopportun.
Vous êtes d’accord ?
Oui !