Fin janvier, le programme de semis a démarré avec du terreau de feuille tamisé à la main.
Pour quel résultat ?

La germination des betteraves a été tout-à-fait correcte.

Semés en plein hiver, les plants de cette série sont lents à démarrer. Mais le résultat est satisfaisant.

Même chose pour les bettes, qui ont été semées dans la foulée.

De belles petites feuilles vert tendre, qui valident l’emploi du tas de feuilles bien décomposées.

A contrario, voici le tableau d’un semis d’oignons ultérieur !!!
Emballée par les premiers succès, j’ai testé le tamisage d’un compost de surface, près duquel une abondante flore s’était développée l’an dernier.
Bien sûr je me doutais que les oignons auraient de la compagnie.

Mais le désherbage est vraiment trop fastidieux.

L’arrachage des petits chénopodes au stade « fil blanc » découvre les jeunes plants d’oignon, al-vé-ol-e a-près al-vé-ol-e…
Vraiment, c’est une question sérieuse que le choix des volumes de terreau utilisables pour les semis. Il est indispensable de décaper la partie superficielle, riche en graines d’adventices, pour ne garder que la partie centrale.
J’achèterai bien quand même quelques sacs de terreau, pour ne pas prendre de retard au moment des plus grosses séries de semis. Mais il est possible d’utiliser principalement le matériau local, issu des feuilles récupérées à l’automne dans le Parc des Lilas.
Bonne nouvelle !