L’été se prépare en hiver…
Les canicules se succédant, j’essaie de gagner en autonomie d’arrosage.
Cela passe notamment par la récupération des eaux pluviales.
Une première cuve de 1000 litres installée depuis plusieurs années me permettait d’assurer une partie des arrosages d’hiver. Mais elle restait désespérément vide dès la fin du printemps.
Les collègues du département m’en ont trouvé une nouvelle, inutilisée dans la gestion du parc.
Et une troisième attendait un hypothétique raccordement aux chenaux de la serre. Elle s’est laissée charger sur un bon charriot horticole.
Un petit travail de terrassement et de mise en forme de poutrelles en ferraille m’a permis de leur confectionner un emplacement adapté.
Il suffisait ensuite …
de les raccorder entre elles…
pour assurer une vidange et un remplissage simultanés.
Juste raccordées elles prennent le temps d’équilibrer leur niveau.
Et les pluies de ces jours-ci leur permettent de se remplir gentiment.
Ce n’est pas encore l’autosuffisance hydraulique, en prévision des sécheresses à venir, mais tripler la capacité de stockage est déjà une grande satisfaction.
Et la morsure du froid sous les pluies d’hiver est bien atténuée par le décompte des quantités d’eau d’arrosage ainsi stockées. Autant d’eau potable qui ne sera pas consommée !
Super, bonne nouvelle !😊