Eprouvé par les pluies de l’an dernier, l’ail n’avait pu être récolté que sur une petite partie de la surface plantée.
Disloquées et noires, les têtes d’ail restées en terre ne comptaient plus pour moi.
Mais oh surprise ! Loin de disparaître elles ont poursuivi leur route, chaque cailleu donnant une belle petite plante.
Voici donc le résultat de l’abandon de portions de planches laissées pour anéanties… (on a vu pire !)
Vigueur et fraîcheur en ce début de printemps, un beau cadeau inattendu.
Et des bottes que je récolte dès à présent pour agrémenter vos salades et vos poêlées.
Pour réveiller nos papilles !
Quel régal ton aillet dans une poêlée d’haricots, merci Lucie !
Merci pour la jolie nouvelle !