Giboulées, coups de vent, soleil qui joue à cache-cache…
l’entrée dans le printemps est un peu cahotique.
Face à l’incertitude de ce que sera ce millesime, la vigueur des éléments, qui s’expriment pleinement, incite à la modestie.
L’ampleur du programme de travail contraste avec la maigreur des récoltes du moment.
Et le ciel d’orage est aussi beau que la terre est basse…
Bon courage Lucie… La tâche est noble mais rude !
Merci Michelle, je ne suis pas découragée, plutôt impatiente de découvrir ce que cette année nous réserve…