
Il fut un temps où la vigne du verger courait dans la ramure d’un vieux cerisier. Évidemment, à cette époque, les grappes de raisin étaient exclusivement réservées aux oiseaux.
Puis la vigne a suivi le mouvement d’une branche principale, cassée par gros vent. Il a fallu démêler, débiter, trancher, séparer… pour finalement en sortir 3 beaux ceps de vigne et construire une treille.

Les derniers coups de vent ayant un peu déglingué la structure, une remise en état s’imposait avant le départ de végétation.


Quelques assemblages consolidés, entre deux averses de grêle, donnent un aperçu du travail de taille restant à faire.

Tant qu’à être sur place, l’escabeau déployé, autant terminer par un petit exercice au sécateur.

Et voilà le résultat. A la lumière du soleil couchant, la vigne, palissée sur une treille affermie et taillée de frais, est prête pour le printemps.

Chouette !