Quand les têtes chercheuses des patates douces viennent traverser les passe-pieds et les planches voisines, le palissage s’impose !

Accrochées sur un fil, les tiges principales continuent à s’allonger et répartissent les tiges secondaires sur le plan vertical…

Au bout, les têtes prennent de la hauteur.

Cela vaut mieux que d’être piétinée.

Voici comment une nouvelle muraille de végétation se dresse derrière celle des tomates et libère le passage.