Ce pourrait être une affiche de catch… si ça se passait au grand jour.

Mais les vedettes sont si timides. Toujours cachés dans leur terrier, n’intervenant qu’à la nuit tombée, les mulots – alias campagnols – se plaisent finalement bien sur mon terrain.

Surtout, ils ont le souci de renouveler leur adversaire. Cela a d’abord été la betterave, le navet, le persil… jusque, dernièrement, les choux raves.

A la base, nous avons une planche de jolis petits choux, sages comme des images.

Puis il y a comme un problème…

Sur les côtés, quand on regarde de près, on trouve des petits trous ronds, autrement dit, les entrées des artistes ! Eh oui, les campagnols font volontiers des galeries souterraines sous les pieds des tunnels.

Résultat ?

ça et ça   et ça  et un grand désert…

Bouhhhh mes pauvres choux !!! (c’est les risques du métier…)

Pour les amateurs de chou, j’ai quand même en plein champ des petits choux cabus, de Milan et choux rouges. Ils n’ont pas voulu trop grandir, et n’ont pas réussi à vraiment pommer. Mais ils iront quand même bien compléter une bonne potée…. A vos cocottes !